- Chiffre d’affaires de 3,7 milliards d’euros (+16 % vs 2016), dont 35 % à l’international
- Prises de commandes de 4 milliards d’euros
- EBITA de 172,7 millions d’euros, marge opérationnelle de 4,7 % en progression de 70 millions d’euros
- Bonnes perspectives pour 2018
(En millions d’euros, normes IFRS) | 2017 | 2016 | 2015 |
Prises de commandes | 4 001 | 2 645 | 3 521 |
Carnet de commandes | 11 912 | 11 629 | 12 271 |
Chiffre d’affaires | 3 698 | 3 191 | 3 039 |
EBITA[1] | 172,7 | 102,5 | 64 |
Marge opérationnelle (EBITA/CA) en % | 4,7 % | 3,2 % | 2,1 % |
Résultat net consolidé, part du groupe | 142,2 | 94,3 | 68,4 |
Prises de commandes : 4 milliards d’euros, ratio Book-to-Bill de 1,08
Les prises de commandes enregistrées au cours de l’exercice 2017 s’élèvent à 4 001 millions d’euros. La compétitivité des offres a contribué à l’accroissement du taux de marge moyen du carnet de commandes, dont le montant s’établit à 11 912 millions d’euros à fin 2017. Les commandes enregistrées en France et à l’international sur l’exercice 2017 ont bénéficié à tous les secteurs, qu’il s’agisse des programmes de construction neuve, des services ou des équipements. Les principales notifications concernent le programme de frégates intermédiaires (FTI), le programme de sous-marin PROSUB pour la marine brésilienne, la rénovation des frégates du type La Fayette, le programme de sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) ainsi que le programme de sous-marin australien. Sur les trois années de 2015 à 2017, le ratio Book-to-Bill (prises de commandes sur chiffre d’affaires), qui mesure le renouvellement du carnet de commandes, s’établit à 1,02 (1,08 sur la seule année 2017).Activité : chiffre d’affaires en hausse de près de 16 %, 35 % à l’international
Le chiffre d’affaires consolidé s’élève à 3 698 millions d’euros, dont 35 % réalisé à l’international. Sa progression de 15,9 % par rapport à 2016 a été portée, d’une part, par les grands programmes nationaux de constructions neuves (principalement frégates multimissions FREMM et sous-marin nucléaire d’attaque Barracuda) et de services, dont la modernisation à mi-vie du porte-avions Charles de Gaulle ainsi que les programmes d’entretiens des sous-marins nucléaires d’attaque et des sous-marins nucléaires lanceurs d’engins. À l’international, le Brésil, l’Égypte et l’Australie ont été de puissants moteurs de la croissance de l’activité.Rentabilité : EBITA et marge opérationnelle en progression sensible
L’EBITA (résultat opérationnel avant amortissement des écarts d’évaluation) s’élève à 172,7 millions d’euros. Sa progression sensible, supérieure à celle du chiffre d’affaires, se traduit par une nouvelle hausse de la marge opérationnelle, qui passe de 3,2 % en 2016 à 4,7 % en 2017. Cette solide dynamique, engagée depuis trois ans, traduit l’amélioration opérationnelle de l’ensemble des programmes navals et l’efficacité des actions engagées dans le cadre du pacte industriel et social. Ces résultats ont néanmoins été contraints par une dépréciation de la valeur des actifs de notre filiale Naval Energies suite à des retards et des difficultés opérationnelles rencontrés au cours de l’année 2017. Le résultat net part du groupe s’élève à 142,2 millions d’euros, en hausse de près de 50 millions d’euros par rapport à 2016.Perspectives : hausse des recrutements et des investissements ; maintien de l’effort sur la maîtrise des coûts
Les gains du pacte industriel et social permettent à Naval Group d’investir, condition sine qua non de son développement. En 2017, Naval Group a recruté plus de 1 000 nouveaux collaborateurs et cette dynamique va se poursuivre, notamment grâce aux initiatives du Naval Campus en matière de formations professionnelles des ouvriers et techniciens. Naval Group accélère également ses investissements dans la recherche et le développement autofinancés, les systèmes d’information, les infrastructures ou encore les outils et équipements industriels d’études et de production. Enfin, sur l’ensemble de l’exercice 2018, Naval Group poursuivra son action d’amélioration continue de la compétitivité de ses offres et des programmes en cours, tant domestiques qu’internationaux, conditionnée notamment par une maîtrise des coûts et des délais. L’amélioration de la rentabilité opérationnelle devrait se poursuivre en 2018, et le résultat net part du groupe devrait progresser de l’ordre de 10 %.Vidéos et photos disponibles sur http://www.salledepresse.com Contacts presse pour Naval Group : Emmanuel Gaudez Tel. +33 (0)1 40 59 55 69 emmanuel.gaudez@naval-group.com Élodie Sansoulh Tel. +33 (0)1 40 59 54 79 elodie.sansoulh@naval-group.com