Naval Group remporte l’appel d’offres pour l’entretien des dix chasseurs de mines français (CMT)

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24 janvier 2019 Naval de défense Communiqué de presse

La direction Services de Naval Group a été notifiée par la Marine nationale fin décembre 2018 de ce contrat d’entretien et de maintenance d’une durée de 5 ans appelé « CMT 19 ».

Dans le cadre du programme de chasseurs de mines tripartite (CMT), mené conjointement par la Belgique, les Pays-Bas et la France, Naval Group a construit pour la France dix chasseurs de mines dans les années 1980.

Aujourd’hui, ce nouveau contrat couvre l’ensemble des arrêts techniques à réaliser sur dix CMT français : sept CMT brestois et trois toulonnais, soit 8 arrêts techniques majeurs et 34 arrêts techniques intermédiaires. Ces arrêts techniques seront réalisés dans les bases navales de Brest et Toulon.

Le contrat prévoit également la réalisation de plusieurs évolutions au cours des arrêts techniques: usines électriques, frigos-air, poissons auto-propulsés « PAP » (fournis par ECA Robotics), réfection des soutes à gazole…

Il comprendra enfin les opérations de retrait du service actif, dans quelques années, de deux chasseurs de mines, l’Orion à Toulon et le Cassiopée à Brest.

La maintenance, au coeur des innovations chez Naval Group

Naval Group accompagne ses clients afin d’assurer la disponibilité des navires tout au long de leur cycle de vie.

Fort de sa capacité à réaliser le maintien en condition opérationnelle (MCO) de navires militaires complexes, en France pour la Marine nationale ou pour ses autres marines clientes, Naval Group innove et généralise l’i-maintenance.

Grâce à la mise en place de cette maintenance « intelligente » (IMS) à bord des navires, les activités de maintenance prédictive vont permettre une optimisation continue des prestations de soutien. Les données sont structurées puis stockées et constituent un historique du suivi en service des installations, avant d’être soumises à des systèmes algorithmiques puissants faisant ressortir les anomalies et points de surveillance.

La FREMM Aquitaine est la première à en avoir bénéficié en novembre 2018 à Brest.